Elektra
Spectacle
Metteur en scène : Patrice Chéreau
Compositeur : Richard Strauss
Comédiens : Evelyn Herlitzius (Elektra), Waltraud Meier (Klytämnestra), Adrianne Pieczonka (Chrysothemis), Mikhail Petrenko (Orest), Tom Randle (Aegisth)
Chef d'orchestre : Esa-Pekka Salonen
Choeur : Coro Gulbenkian
Costumier : Caroline de Vivaise
Décors Spectacles : Richard Peduzzi
Librettiste : Hugo von Hofmannsthal
Lumière : Dominique Bruguière
Orchestre : Orchestre de Paris
Comédiens : Evelyn Herlitzius (Elektra), Waltraud Meier (Klytämnestra), Adrianne Pieczonka (Chrysothemis), Mikhail Petrenko (Orest), Tom Randle (Aegisth)
Enregistré le 19 juillet 2013 à Aix-en-Provence
En juillet 2013, trois mois avant sa disparition, Patrice Chéreau faisait son grand retour au Festival lyrique d’Aix-en-Provence sous un tonnerre d’applaudissements. Voici sa dernière mise en scène, éblouissant testament esthétique d’un visionnaire.
De retour chez lui après la guerre de Troie, Agamemnon, roi de Mycènes et d’Argos, est assassiné par son épouse Clytemnestre et l’amant de celle-ci, Égisthe. Sa fille Électre, inconsolable, réclame justice, suspendue à l’espoir du retour d’Oreste, son frère, le bras armé de sa vengeance...
DOUBLE HOMMAGE
Dans un décor d’une pureté monumentale conçu par Richard Peduzzi, les personnages acquièrent, sous le regard sensible de Patrice Chéreau, une profondeur dramatique peu commune : l’impériale Waltraud Meier cisèle une Clytemnestre tout en féminité et fragilité, Adrianne Pieczonka prête sa voix ample à la sage Chrysothémis, dont le désir de vivre l’emporte sur la soif de sang, et Mikhail Petrenko insuffle un trait de vulnérabilité au justicier Oreste. Face à eux, Evelyn Herlitzius, magistrale Électre en haillons, module son instrument et malmène son corps jusqu’à la transe au gré des variations psychologiques de son personnage. L’Orchestre de Paris, sous la baguette du Finlandais Esa-Pekka Salonen, sert remarquablement la vision de Patrice Chéreau, qui signait ici son retour à Aix-en-Provence, six ans après De la maison des morts de Janácek. ARTE rend hommage à l’immense metteur en scène, emporté par la maladie le 7 octobre dernier, ainsi qu’au compositeur Richard Strauss, dont on célèbre le 150e anniversaire de la naissance cette année.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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