Galerie photo de Florence Foster Jenkins
Florence Foster Jenkins
2016
Drame
Royaume-Uni
Récompenses:
Critics' Choice Awards, 2016 - Meilleure Actrice - Meryl Streep
Hollywood Film Awards, 2016 - Acteur Award - Hugh Grant
British Academy Film Awards, 2017 - Meilleurs maquillages et coiffures
Réalisation : Stephen Frears
Scénario : Nicholas Martin
Avec : Meryl Streep, Hugh Grant, Simon Helberg
Musique : Alexandre Desplat
Richissime et folle d'opéra, elle chantait faux. Stephen Frears retrace, sous les traits de Meryl Streep, son extraordinaire destin.
New York, 1944. Sur la scène d’un club privé, St. Clair Bayfield interprète sans talent un extrait d’Hamlet de Shakespeare avant de présenter sa femme, Florence Foster Jenkins, une chanteuse soprano à la voix de fausset, déguisée en ange. Après la représentation, le couple regagne son hôtel, mais St. Clair ne tarde pas à aller retrouver Kathleen, sa maîtresse. Bientôt transportée par un concert lyrique auquel elle a assisté, Florence décide de reprendre des cours avec Carlo Edwards, son maître de chant, et choisit, pour l’accompagner, Cosmé McMoon, un jeune pianiste inconnu. Lors de la première répétition, le musicien, ébahi, découvre l’inaptitude vocale de l’élève...
Après Xavier Giannoli et son excellent Marguerite, avec Catherine Frot, libre adaptation de la vie de la cantatrice, Stephan Frears transpose à son tour son extraordinaire histoire à l’écran. Dans cette comédie dramatique au charme fou, le cinéaste pose un regard attendri sur la richissime héritière américaine, passionnée d’opéra, qui se rêve grande interprète lyrique dans une sorte d’élan vital. Avec une délectation manifeste, Meryl Streep prête son immense talent à l’improbable soprano, touchante dans son excentricité aux frontières de la folie. Bien que dénuée de toute musicalité, cette fausse diva et vraie mondaine qui aurait, dit-on, inspiré à Hergé le personnage de la Castafiore parvint, grâce à sa fortune, à un puissant déni et à la complicité de son entourage, dont son dévoué et flagorneur mari St. Clair (épatant Hugh Grant), à se produire dans de prestigieuses salles américaines dont, en 1944, le célèbre Carnegie Hall.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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