Galerie photo de Un tramway nommé désir
Un tramway nommé désir
1951
Patrimoine
Etats-Unis
Récompenses:
Oscar de la Meilleure actrice pour Vivien Leigh en 1952
Réalisation : Elia Kazan
Avec : Vivien Leigh, Marlon Brando, Kim Hunter, Karl Malden, Rudy Bond, Nick Dennis
Blanche part vivre chez sa sœur et son beau-frère, ouvrier sensuel au tempérament sanguin. Un film incandescent et dérangeant, qui propulsa Marlon Brando au rang de superstar hollywoodienne.
Héritière ruinée, Blanche s’installe chez sa sœur Stella et son beau-frère Stanley Kowalski dans un quartier populaire de La Nouvelle-Orléans. Maniérée et capricieuse, Blanche rentre bientôt en conflit avec Stanley, ouvrier viril, impulsif, et parfois violent, qui vit au rythme de ses passions – le poker, le bowling et les femmes. Déchirée entre son désir pour lui et sa répulsion envers ses manières rustres, Blanche, dont le masque se fissure peu à peu, se révèle : femme hantée par son passé, paranoïaque et mythomane.
Aux confins de la folie
Adaptation de la pièce de théâtre éponyme de Tennessee Williams, qui connut un grand succès et remporta le prix Pulitzer en 1948, ce film multi-oscarisé d'Elia Kazan entra immédiatement dans la légende du cinéma américain. Âgé de 27 ans, Marlon Brando deviendra, du jour au lendemain, une superstar hollywoodienne. Avec son jeu intensément sauvage, son torse imberbe et musclé, exhibé ou moulé dans un tee-shirt, Brando s'imposera comme l'icône américaine de l'érotisme masculin. Un tramway nommé désir offrira aussi à Vivien Leigh son dernier grand rôle, après celui de Scarlett O'Hara dans Autant en emporte le vent. Pour l'actrice britannique, interpréter Blanche, cette femme dominée par ses névroses, dépassait la fiction : elle souffrait, "dans la vraie vie", de troubles bipolaires. Sa prestation n'en est que plus bouleversante… Par la puissance de son jeu, le duo Brando/Leigh instille une ambiance étouffante qui nous transporte jusqu'aux confins de la folie et du désir. L'ensemble est décuplé par la musique angoissante d'Alex North et la sublime mise en scène d'Elia Kazan, qui reconstitue la moiteur de La Nouvelle-Orléans populaire.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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