Vadim, Mister Cool
2016
Histoire du cinéma
France
Réailsation : Olivier Nicklaus
Commentaire dit par Gaspard Ulliel
Production : ARTE France, Slow Production, Ciné Patrimoine Concept, INA, avec la participation de Ciné+
Érigeant l’hédonisme en vertu, Roger Vadim a fait de sa vie une fête. Un portrait lumineux raconté par Gaspard Ulliel.
"Qu’on réapprenne un petit peu à être décontracté, à se plaire dans notre peau sur cette terre, au soleil ou ailleurs"… Interrogé à la sortie de Et Dieu créa… la femme, son premier film, Roger Vadim a la voix un peu hésitante quand il confie son aspiration à la légèreté, comme un baume sur le malheur et le chagrin. Né à Paris en 1928, il aurait dû s’appeler Vadim Plemiannikov mais le prénom russe choisi par ses parents ayant été refusé par l’état civil, on lui a accolé celui de Roger, son parrain. D'une famille noble, son père, Igor Nikolaevitch, dont on dit qu’il descend "en ligne directe" de Gengis Khan, a fui l’Ukraine. Devenu citoyen français, il a été nommé vice-consul en Égypte où il s'est installé avec les siens. À sa mort brutale en 1938, leur ciel s’effondre : "On est passé des contes des Mille et une nuits à Émile Zola", se souviendra le cinéaste. Après avoir traversé la guerre dans le dénuement, Roger retrouve Paris à la Libération. Un jour, il pousse la porte du cours de Charles Dullin. Il a 17 ans et des rêves plein la tête…
Étincelant
Journaliste, scénariste, réalisateur, producteur, acteur, romancier, homme à femmes, père prolifique… : Roger Vadim a exploré tous les possibles. Dilettante pour les uns, guidé par la soif de vivre pour d’autres, ami fidèle et amant heureux, il a propulsé la carrière des actrices qui ont partagé sa vie, de Brigitte Bardot à Jane Fonda, d’Annette Stroyberg à Catherine Deneuve, même si sa dernière épouse, Marie-Christine Barrault, n’a pas eu besoin de lui pour se faire un nom. Dans l’élégant portrait que lui consacre le réalisateur Olivier Nicklaus, c’est un Vadim étincelant, à l’avant-garde des modes et des courants, qui surgit, au diapason de l’insolence des Trente Glorieuses. Disparu en 2000, ce diable d’homme sut presque toujours garder un coup d'avance, pour faire de la vie une fête.[VID_114134]
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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