Vietnam, la trahison des médias
Histoire
Producteur : ZADIG PRODUCTIONS, ARTE FRANCE
Patrick Barbéris revient sur le tournant de la guerre du Viêt-nam, l'offensive du Têt, et sur son traitement médiatique.
Viêt-nam, janvier 1968. En sept ans, la présence militaire américaine dans la seconde guerre d'Indochine est passée de quelques centaines de conseillers militaires à un contingent de 500 000 hommes. Fin janvier 1968 - période de trêve et de fête du nouvel an lunaire, le Têt -, les forces nord-vietnamiennes encerclent la base américaine de Khe Sanh, et déclenchent une guérilla urbaine de grande échelle dans le Sud Viêtnam. Certain de sa puissance de feu, l'état-major américain croit alors tenir l'affrontement frontal tant attendu. Jusque-là, les bombardements massifs du Nord Viêt-nam avaient exténué l'ennemi mais les signes probants de victoire manquaient face à des combattants invisibles tapis dans la jungle. L'initiative nord-vietnamienne est perçue comme une tentative désespérée et le "début de la fin". Les combats dans Saigon donnent aussi aux nombreux journalistes américains présents sur place l'occasion et la matière pour abreuver l'Amérique profonde d'images de leurs soldats en action. Mais si l'armée américaine remporte en effet des victoires écrasantes sur le terrain, les images générées par ces combats produisent l'effet inverse. On assiste à l'exemple spectaculaire et paradoxal d'une guerre où la victoire militaire fabrique des images de défaite et aboutit à une débâcle politique.Photos : © Robert Ellison-BlackStar - tous droits réservés
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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